Intelligence Artificielle
Les résultats actuels de l'intelligence artificielle sont une preuve de concept de la possibilité technologique d'augmenter la lisibilité néguentropique des personnes, acteurs et objets, à partir des informations qu'elles échangent. Ceci, correspond à une adjuvance intellectuelle apportée à la lecture de la complexité naturelle découverte depuis la fin du XIXe. L'étude des conséquences de cette augmentation ethnotechnologique sera le domaine de la technosophie.
Ce qu'en dit ChatGPT
Quand on est confronté à une nouvelle réalité ou à un phénomène inconnu, la démarche scientifique suggère une approche méthodique pour l'apprendre et en comprendre la cybernétique (son système de contrôle et de régulation) :
- Observation et collecte de données : On commence par observer le phénomène inconnu et par collecter autant de données que possible.
- Formulation d'hypothèses : En analysant ces données, on cherche des modèles et des relations pour formuler des hypothèses sur la façon dont le phénomène pourrait fonctionner.
- Réalisation d'expériences : Ces hypothèses sont ensuite testées par des expériences spécialement conçues, qui peuvent être répétées pour vérifier la validité des résultats.
- Analyse des résultats et conclusion : Les résultats de ces expériences sont analysés. Si les données obtenues correspondent à ce qui était prévu par l'hypothèse, elle est confirmée. Sinon, elle est soit révisée, soit une nouvelle hypothèse est formulée.
- Compréhension de sa cybernétique : En parallèle, en étudiant les systèmes de contrôle et de régulation du phénomène, on acquiert une compréhension de sa cybernétique, de la manière dont il fonctionne et comment il répond à différents stimuli ou conditions.
Ainsi, par l'expérience et l'analyse, on apprend progressivement à connaître le "comment" du phénomène et à comprendre le "pourquoi" de son fonctionnement, en suivant la méthode scientifique.
Le phénomène ici considéré est celui de ce que l'on nomme aujourd'hui "intelligence artificielle"
Nous l'identifions comme nouveau pour le "trisapiens", tel qu'il nous amène lui-même à nous identifier :
- celui qui sait,
- celui qui sait savoir,
- celui qui sait comprendre.
Notre domaine est ce savoir-savoir que nous appliquons entre nous et que nous voulons comprendre avec l'aide de l'IA que nous développons à cette fin.
Nous lui attachons ici la notion d'"appliquée", dans notre contexte citoyen, car notre approche est le plus souvent d'abord pratique : nous en attendons ainsi une adjuvance à notre capacitation numérique, et la science pour en résoudre les problématiques humaines que ses émergences vont, sans doute, nous poser en tant qu'hommes.
Pour info : L'homme selon wikipedia
De tous les animaux à système nerveux central, Homo est probablement celui qui a le cerveau le plus développé et performant[alpha 1]. Ses seuls rivaux dans ce domaine sont certains cétacés. D'un point de vue anatomique, ces capacités cognitives sont associées au développement particulièrement prononcé du néocortex, bien que certaines expériences suggèrent que des différences au niveau neuronal jouent aussi un rôle[1]. Le développement particulièrement prononcé du néocortex par rapport aux autres primates et hominidés a été associé à une famille de gènes ancestraux Template:Lien[2].
Les capacités de l'esprit humain notamment en termes de mémoire, d'imagination et d'abstraction sont probablement ce qui explique le mieux le succès évolutif de l'espèceTemplate:Refnec.
Template:Langue est capable d’appréhender les règles qui organisent le monde qui l’entoure, de près comme de loin : du mouvement des astres aux lois qui structurent la matière, en passant par les règles qui organisent l’espace et les principes nécessaires à l’induction. Plus précisément, on peut dire que depuis le milieu du Template:S, il comprend les règles du monde visible, à l’exception de celles qui sont à l’origine des forces subatomiques, et des raisons qui font que la matière courbe l’espace-temps. En effet, selon le prix Nobel de physique Richard Feynman, ces deux domaines sont les seuls qui ne sont pas couverts par l’électrodynamique quantique[3].
Cette aptitude à comprendre le monde s'est traduite par l'accumulation d'un ensemble de connaissances appelées « sciences » et le développement d'outils divers appelés « techniques ». L'attitude plus générale qui consiste à clarifier sa pensée et à chercher à comprendre le monde par-delà les seules considérations matérielles, est quant à elle appelée philosophie.
Cependant ces savoirs collectifs résultent de l'échange et de la spécialisation, la totalité des connaissances n'étant jamais maîtrisée par un seul individu. Cette dichotomie entre les connaissances individuelles et l'intégralité de la connaissance et de la culture humaine appuie d'ailleurs une conception de la culture comme entité évolutive propre, dont les constituants sont appelés mèmes, et qui évolue avec Homo sapiens de façon symbiotique ou même commensale.
Les capacités cognitives de l'être humain lui permettent d'avoir conscience de lui-même. Comme quelques autres espèces animales, il réussit systématiquement le test du miroir.
Concernant le dimorphisme sexuel, on note quelques différences anatomiques entre les cerveaux féminins et masculins[4] mais la complexité des interactions fonctionnelles rend difficile la corrélation de différences anatomiques avec des différences cognitives[5]. Template:Citation.
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- ↑ Template:En Human brain cells make mice smart, Yahoo! News
- ↑ Template:EnMeet NOTCH2NL, the human-specific genes that may have given us our big brains, eurekalert.org
- ↑ Richard Feynman, Lumière & matière : une étrange histoire.
- ↑ Template:Article.
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